Ladies and Gentlemen, voici, tout droit sorti du four et du cerveau pervers de SweetCat, son compte rendu.
Bonne lecture.
Z.
AVANT LE GANG BANG
Après deux ans de libertinage en jeune femme seule, j’en ai tiré plusieurs conclusions. Je n’aime pas les clubs couples car cela manque d’hommes seuls. Et dans les clubs où il y a beaucoup d’hommes seuls, il y a de tout : des hommes endurants et des moins endurants, certains membrés, d’autres moins, certains ne connaissant pas ou peu les codes du libertinage…
Je passe des nuits entières en club libertin, de l’ouverture à la fermeture, à chercher des partenaires
multiples et qui pourraient satisfaire mes envies de hard. De très jolies nuits mouvementées… Mais
qui ne suffisent pas à combler mes gros besoins. Je veux plus. Je veux du hard. J’ai envie de me faire détruire.
En parallèle, depuis plusieurs mois j’entends parler par divers biais des soirées de Z, et ce que je lis
des témoignages de femmes me plait énormément… Des gangbangs hards, pervers, vicieux, et sans retenue. Du sexe bien sale comme j’adore, du sexe trash comme celui sur lequel je me touche depuis toujours…
J’écris à Z qui réponds très gentiment à toutes mes questions. De nature curieuse, j’aime saisir les
opportunités au vol et je décide qu’à la première occasion, je passerais une tête chez le mystérieux Z.
Première occasion qui se présente rapidement : le weekend du 30 juin, je suis disponible. Je voudrais passer discrètement à l’une des soirées multicouples organisée par la Factory. J’ai envie d’observer et de prendre la température de ces soirées orgiaques. Je sais d’avance que je m’y sentirais comme un poisson dans l’eau…
Bémol : il n’y a pas de soirée organisée ce week-end là. Par acquis de conscience, et pour forcer un
peu le destin, je lance une bouteille à la mer en disant à Z que je suis disponible. Visiblement, Z est
également quelqu’un qui sait saisir les opportunités : il me propose immédiatement d’organiser un
gangbang avec une dizaine d’hommes rien que pour moi. De nature timide, je n’ai pas l’habitude
d’être le centre de l’attention d’entrée de jeu, j’hésite… Peu de temps. J’aime sortir de ma zone de
confort et je commence à avoir fait le tour des clubs. Il est temps d’aller jouer dans la cour des
grands.
J’ai trois jours et trois nuits avant le grand jour. Je les passe sur le site Z, je lis des témoignages.
Quelles chiennes de compétitions passent chez lui ! C’est les montagnes russes dans ma tête.. « Je ne serais jamais à la hauteur ! » – « Allez fais toi confiance, tu es faite pour ça, depuis toujours… » – « Les gars chez Z en ont vu passer des chiennes, et je n’ai fait que des gangbangs moins intenses, avec des hommes moins expérimentés… ». Je dors peu, je cogite et je travaille beaucoup, les trois jours filent entre stress, trac, et immense excitation. J’espère enfin pouvoir assouvir mes pulsions les plus sombres, et situer mon niveau de chienne.
LE GANG BANG
Vendredi 30 juin, je retrouve en amont Monsieur M. , avec qui je discute depuis plusieurs mois, afin
de me détendre un peu. Je sais qu’il va tout faire pour me déstresser et me mettre en confiance,
alors je me laisse aller.
Après un peu de vin et avec sa présence je me sens déjà mieux. Ça tombe bien, il est l’heure d’y
aller…
Nous poussons la porte de la Factory vers 20h30, et Thierry nous accueille avec une coupe de
champagne, son sourire et sa bonne humeur. Il me met directement à l’aise et le courant passe. Je
traverse brièvement la pièce principale avant d’aller côté vestiaire et bar, derrière un rideau. Cela me
donne l’occasion d’entrevoir les lieux : un vaste loft aux magnifiques volumes, très lumineux,
plusieurs grands lits et un chevalet façon BDSM. Ça me plait… Et ça m’excite.
Je file me changer tandis que les garçons continuent d’arriver. Je mets un joli ensemble rouge à
straps et une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles, je soigne mon maquillage. Je sors et je
constate déjà que je fais bonne impression auprès de Thierry et de Monsieur M. Cela me met en
confiance. Ça y est, je suis prête.
C’est parti.
Je rentre dans la pièce de façon assurée, je sais que la première impression est importante. Ils sont 8 garçons tout autour du grand lit central, au milieu de la pièce. Des hommes de tous horizons et de
tous âges. Je salue tout le monde et je les regarde un par un pour m’imprégner des visages, et des
attitudes… Je veux connecter.
De suite, je monte sur le lit, à quatre pattes, et je commence à sucer. J’ai demandé à Z des hommes
assez bien membrés et je ne suis pas déçue. D’entrée de jeu, je me fais détruire la gorge sans pause et je bave partout, ça dégouline sur mon cou, sur mes seins. Monsieur M. me fait lécher le matelas quand je salive trop dessus. En 5 minutes, je suis déjà nue, en train de me faire baiser sauvagement et en enchaînant les gorges profondes. J’ai appris il y a peu à débloquer ma gorge pour encaisser les plus gros calibres, c’était bien vu de ma part car certains (qui se reconnaitront ��) ont vraiment de gros chibres… Je suis super excitée.
Je suce comme une grosse chienne sans m’arrêter, je les entends me dire que je suis une vraie bonne salope, ils aiment ça. Je me prends des gifles et des crachats dans la bouche en remerciement de mes efforts. Puis une première giclée dans la gueule. Encore bien lucide, j’arrive à interagir avec eux et à donner le change. Je tire la langue en permanence, en quémandant les queues et en regardant leurs propriétaires dans les yeux. Je remercie ces messieurs pour chaque goutte de leur salive et de leur sperme, dans un gémissement étouffé.
Un des gars éjacule dans une capote, ils me la mettent dans la bouche et me font tout avaler.
Très vite, les gars se rendent compte que j’adore ce qui se passe, qu’ils vont pouvoir vraiment se
lâcher et que l’on va pouvoir aller loin… J’encourage par mes regards, mes sourires et mes attitudes
la salacerie. C’est ce exactement ce que je veux. Allez-y messieurs, je suis entièrement à vous.
Je sens que l’un d’eux commence à m’ouvrir le cul, avec quoi, je ne sais pas… Il m’ouvre pour tout le monde. J’ai toute confiance en mon petit trou que j’ai déjà bien entrainé, et qui est de fait très
souple. Je commence à me faire enculer sans ménagement 20 petites minutes après le top départ du GB. Ils y vont à la chaîne, je ne suis plus que des trous qui se font remplir violemment et
inlassablement. Les bras tenus dans le dos, j’ai un pied sur la tête et une bite dans le cul, puis une
autre, puis une autre…
Pas plus de 5 minutes plus tard, ce sont les doubles qui commencent. Je me mets à califourchon sur
l’un d’eux en vaginal, et mon cul déjà bien ouvert se fait remplir par une bonne queue. Monsieur M. ,
qui me filme, me demande de bien expliquer ce qui se passe. J’articule difficilement que je suis bien
remplie par les bites et que j’adore ça. Je commence à être un peu étourdie et je tends la langue
instinctivement pour sucer en même temps. Qu’est-ce que c’est bon…
C’est à cet instant précis, durant les premières doubles, que je vrille vraiment. Je perds le contrôle, je livre totalement mon corps en pâture à ces messieurs en rut. Mon regard se trouble. En bonne
chienne anale, me faire enculer sans pitié à la chaîne me rends folle et me fait perdre la tête. Ca y
est, la vraie salope émerge et elle n’en a pas terminé.
Ensuite, les garçons m’allongent sur le dos la tête à l’envers pour baiser ma gorge le plus profond
possible. J’ouvre bien grand la bouche et débloque le fond de ma gorge pour qu’ils puissent bien me
pénétrer avec leurs gros chibres. Ça s’enchaîne et je continue de me faire enculer en même temps,
non-stop. Je ne comprends plus rien et je ne fais plus que baver, gémir, parfois crier. 45 minutes
après le début du GB je demande une première pause et un verre d’eau.
Tout reprend 5 minutes plus tard et ils me déposent cette fois sur le chevalet. Je n’avais jamais testé
mais cela me paraît une fort bonne idée pour ouvrir mes trous un maximum. En effet, j’ai glissé à
Monsieur M. que j’aimerais tester la double anale si mon corps le permets et que ces messieurs sont
prêts. Pour commencer, Monsieur M. fait une jolie démonstration de paddle. Il me claque le cul
jusqu’à ce que j’en hurle et que mes fesses soient rougies. Et là le bal recommence : des queues, des gifles, des crachats, des étranglements, des fessées, et je me fais enchainer en tourne broche
sodomie fellation pendant de nombreuses minutes. Je me fais gicler à la gueule plusieurs fois et
j’avale tout avec application. Les pénétrations anales sont profondes, intenses, et je sens que mon
cul est bientôt prêt pour ma nouvelle expérience… Je prends une dernière pause avant de me jeter
dans le grand bain.
A la demande de l’un d’eux, afin de redonner de la vigueur aux garçons et bien les exciter, je
m’exhibe comme je sais bien faire en prenant des poses obscènes, en humidifiant et doigtant ma
petite chatte. Mes cheveux sont collés, mon regard perdu, mon visage est couvert de crachats, de
sperme, et de fluides divers… mais j’en veux encore.
L’un d’eux s’allonge sur le dos pour que je puisse venir sur lui. Il rentre directement sa bite dans mon
petit trou bien ouvert. Un autre homme se met devant moi, je le guide et il rentre en moi pour me
remplir comme la chienne anale que je suis. Mon visage se tord de douleur et de plaisir, ça y est j’ai
deux bites dans le cul, je suis accomplie. Ils me démontent quelques minutes, puis on tourne. Un
autre duo se met en place, un duo qui ne va pas me ménager : deux grosses bites et des coups de
reins vigoureux pour élargir mon cul de chienne. Ces deux hommes, qui se reconnaitront, je sais à
leurs regards et leurs mots qu’ils ont compris dès les premières minutes du GB qui j’étais. Mon petit
sourire, mon regard vicieux et défiant entre mes cheveux défaits, et mes demandes de me faire
défoncer plus fort, les font gicler dans mon cul éclaté.
Je finis à la bouche les quelques hommes qui restent. J’ai du sperme partout sur le visage et
Monsieur M. me le fait avaler au doigt comme une bonne pute à sperme.
La fin ? Pas tout à fait. C’était sans compter sur la mention de la douche dorée dans mon brief, et sur
la vigueur du dernier homme présent, déterminé à combler toutes mes exigences de chiennasse. Me
voilà dans la douche, nue et défaite, assise comme une chienne les genoux bien écartés, encore
excitée, à quémander de me faire pisser dessus. Quelques secondes plus tard je me fais arroser le
visage, j’ouvre grand la bouche et je tire la langue, et je me fais intégralement rincer à la pisse. Ça y
est, toutes les cases sont cochées…
Je peux finalement me doucher. Je me savonne rapidement, puis je rejoins Monsieur M. et Thierry.
Ce dernier me propose un dernier verre que j’accepte.
APRES LE GANGBANG
Je rentre épuisée vers 2 heures du matin. Il est grand temps de dormir.
Le lendemain, au réveil, je constate un sms de Z. Il s’agit du commentaire d’un homme présent hier.
Puis un second. Puis encore un. J’ai visiblement fait forte impression… Quelle surprise pour moi !
Mon premier gangbang hard est visiblement un succès pour tout le monde.
Je suis vraiment ravie d’avoir réussi à procurer tant de plaisir, tant d’énergie, et d’avoir été à la
hauteur d’une vraie chienne, inépuisable, avide de sexe sale et débridé…
J’ai eu ce que je voulais avec ce gangbang. J’ai situé mon niveau, qui était celui d’une chienne libre,
sans collier, non éduquée, qui trainait simplement les clubs depuis 2 ans à la recherche de hard.
Franchi le cap de la DAP, un de mes fantasmes ultime. Finalement rencontré celui qui j’espère va
m’emmener encore plus loin, dans la perversion, et faire de moi la chienne assumée et alignée avec
moi même que j’ai envie d’être. J’ai balayé mes doutes, et confirmé ce que je sentais depuis
toujours : je suis faite pour ça.
Alors il est temps de passer aux remerciements.
Tout d’abord Z, un organisateur fiable, sérieux, efficace, et expert sur cette niche qu’est
l’organisation de GB.
Les hardeurs, qui ont su satisfaire mes envies trashs, sales, qui m’ont suivie dans mon délire de
chienne et avec qui nous avons pu aller loin en nous amusant comme des petits fous ! Avec une
spéciale dédicace à « la grosse bite de suite repérée », et à « Pierre Lechat » pour la douche dorée
finale �� Vous avez tous été formidables et j’ai passé un moment incroyable.
Monsieur M., pour avoir su me rassurer et m’accompagner, prendre soin de moi de près puis de loin,
et pour ses performances de caméraman hors pair… J’ai de très très jolis souvenirs sur mon téléphone 😀
Thierry, pour son professionnalisme, ses attentions, sa bonne humeur…
Et pour finir, mon amoureux, qui m’autorise à me laisser explorer mes salaceries, en me faisant une confiance folle… Puis qui est ravi de tringler sa petite chienne satisfaite quand elle rentre à la maison
en feu ��
Finalement, il n’y a qu’une pièce manquante au puzzle de cette soirée parfaite : je n’ai toujours pas rencontré le mystérieux Z.
A suivre.
SweetCat