Attention, c’est long.
Un grand merci à Mattéo, Yéba et les 3 Matthieu. Bonne lecture
Dans cette rue du XVe arrondissement, un calme surprenant règne, contrastant avec le tumulte habituel de la capitale. Ce petit cocon résidentiel de la rive gauche voit passer de rares silhouettes : des cadres rentrant chez eux après une journée de travail ou des parents profitant d’une promenade avec leurs enfants. Pourtant, un couple se démarque malgré leur apparence ordinaire. Ils patientent au pied d’une résidence, leur tenue suggérant qu’ils attendent des amis pour aller dîner. Elle porte une robe noire simple mais élégante, juchée sur des talons, tandis qu’il est vêtu d’un pantalon et d’une chemise blanche des plus banales. Cependant, leur gestuelle et les rires qui ponctuent leur conversation trahissent une appréhension et un stress inhabituels pour une simple sortie en ville.
Soudain, l’homme consulte son téléphone, lit un message, puis embrasse sa partenaire avant de la guider vers la porte d’entrée de l’immeuble. Au même moment, une femme sort et leur adresse un large sourire en guise de bienvenue. Ils semblent se rencontrer pour la première fois et les présentations s’imposent : elle s’appelle Yeba, et fait la connaissance d’Élodie et Mathieu. Sans plus de cérémonie, Yeba propose au couple de la suivre. Étonnamment, elle se dirige vers l’entrée du garage de la résidence plutôt que vers le hall d’entrée, compose le digicode, et la lourde porte se soulève pour les laisser pénétrer dans le parking.
La scène ressemble de moins en moins à un simple dîner entre amis. Et pour cause, Élodie et Mathieu n’ont pas faim Depuis près de 24 heures, des désirs bien plus intenses les obsèdent. Lui, ne pense qu’à offrir sa belle à un groupe d’hommes en rut, et à l’excitation de la voir jouir de mille plaisirs. Elle, ne pense qu’à se laisser submerger et à satisfaire des inconnus sous le regard gourmand de son amant. S’ils sont venus jusqu’à cette résidence banale du XVe, c’est parce qu’en son sous-sol se cache un endroit aussi insolite qu’improbable, le temple des fantasmes libertins : la confidentielle et pourtant réputée Factory de Monsieur Z.
Le couple ne connait l’endroit que de nom et entrent donc dans l’inconnu. Après avoir franchi quelques portes palières, les voilà enfin dans ce Disneyland pour adultes consentants ! Dès le hall de réception, le ton est donné, et les amoureux ne peuvent contenir leur étonnement face à la décoration singulière de ce lieu. Décrire l’endroit en détail gâcherait la surprise pour ceux qui ne le connaissent pas encore. Passée cette première impression, Yeba les mène au vestiaire tenu pour l’occasion par Matteo. Ils confient leurs effets personnels avant de continuer la visite vers le bar. Celui-ci n’est pas encore terminé, la Factory n’ayant ouvert ses portes que récemment. Ce n’est pas grave. En effet, c’est ce qui se trouve derrière le rideau de cette pièce qui attise la curiosité du couple, dont la décontraction n’est qu’une façade tant ils sont dévorés par l’excitation et le trac. Yeba le voit bien et avec un sourire malicieux mais bienveillant, elle leur propose de franchir l’interdit et de se rendre dans la salle de jeux.
Si l’entrée de la Factory était surprenante, la salle principale est carrément impressionnante. Là encore, il serait dommage de divulguer tous ses secrets, mais certaines installations marqueront à jamais la mémoire d’Élodie et Mathieu ! Yeba et Matteo commencent alors un tour des différents jouets. Tout en sirotant son cocktail, Élodie écoute leurs explications et dresse la liste des jouets avec lesquels elle souhaiterait s’amuser. Son amant semble prendre la démarche très au sérieux. Il sait que si la miss est gourmande et joueuse, ses goûts sont spécifiques et non négociables. C’est elle la reine, c’est elle qui décide. À la surprise de Mathieu qui ne la pensait pas si téméraire, hormis les piloris et la cage, le joyeux groupe aura finalement le loisir de s’amuser avec toutes les attractions de la Factory, surtout les plus incongrues.
Alors qu’ils sont toujours en train de discuter des multiples scenarii possibles, le maître des lieux rejoint les amoureux pour les saluer. Z est en retard, il les avait prévenus et de toutes façons, l’adorable Yeba leur avait réservé le meilleur des accueils. L’excitation du couple avait commencé à prendre le dessus sur le trac grâce à leur visite guidée mais l’énergie et l’humour de Z on finit de les mettre à l’aise. Ils plaisantent quelques minutes et déjà, les participants à la soirée sont arrivés. Élodie reste avec Z pour continuer à déconner, tandis que Mathieu se dirige vers le bar pour se présenter et énoncer les quelques règles et consignes. Bien plus détendu, arborant un large sourire, il serre la main de chacun des neuf participants, découvrant qu’il ne sera pas le seul Mathieu dans la pièce. Ensuite, un peu à la manière d’un manager, il commence son briefing. Trois interdits seulement : rien de dégradant ou d’avilissant, que ce soit dans les actes ou les paroles, pas de sexe anal et pas d’éjaculation sur le visage. Pour le reste, l’essentiel est de s’amuser, de rigoler et surtout de prendre son pied. Il insiste sur le caractère fun de la soirée, et les rires d’Élodie derrière le rideau semblent appuyer son propos. Le coquin de Z réussit visiblement à la mettre à l’aise avec ses bons mots et ses mains baladeuses.
Il est 20h40, tout le monde est prêt. Élodie passe enfin le rideau pour rejoindre l’assemblée. On devine que le trac l’habite encore derrière le bandeau qu’elle porte sur les yeux. Cependant, c’est son physique renversant qui accapare l’attention des hommes présents. Ses cheveux sombres et ondulés tombent sur ses épaules nues, tandis que sa robe met en valeur sa taille fine et sa poitrine délicate. Juchée sur ses talons hauts, on ne peut que rêver à ce qui se cache à la frontière de ses bas noirs. Il ne faut que quelques secondes pour que les plus téméraires s’approchent d’elle et commencent à la toucher délicatement. Elle soupire et sourit à chaque nouvelle main qui se pose sur elle, ses compagnons de débauche sentent qu’elle est électrisée par leurs caresses. Son homme se joint au groupe et l’embrasse à pleine bouche, elle sourit et rigole même, expliquant que malgré son bandeau, elle a pu le reconnaître. Une bonne manière de détendre l’atmosphère. D’autres bouches viendront vite l’embrasser à leur tour, et au milieu de toutes ces mains elle devenait leur jouet.
Ces quelques minutes au bar n’étaient qu’un petit avant-goût, L’occasion pour Elodie d’engloutir quelques bonbons et pour les chanceux étalons de mesurer à quel point elle est sexy. Ils ont faim, ils ont envie d’elle, ils sentent qu’elle aussi est en chaleur : il est temps de passer dans la salle de jeux. Toujours privée de la vue, elle se fait escorter prudemment derrière le rideau, et là, quasi instantanément, ses compagnons de jeu la dévêtissent. Sa robe tombe rapidement, dévoilant sa lingerie fine. Si son soutien-gorge noir s’envole dans la foulée, ils lui laissent ses bas et son porte-jarretelles, probablement parce qu’ils ne gêneront pas les péripéties à venir, et certainement parce qu’ils mettent en valeur ses jambes, ses cuisses et son petit cul bien rond.
Ainsi dévêtue mais toujours debout au milieu de la pièce, elle finit par enlever son bandeau pour mieux apprécier son assemblée. On l’embrasse à pleine bouche et on la caresse des cheveux au cul en passant par les seins et le ventre alors que de ses petites mains agiles elle commence à saisir les queues qui se présentent à elles. Les mecs savaient qu’elle était sexy, ils savent maintenant qu’elle n’est pas timide. Ils décident donc de la mener vers le premier lit sur lequel elle prend place avec grâce et s’allonge sur le dos. Ainsi installée, un premier gourmand vient lui lécher la chatte alors que, plus haut, elle saisit une queue dans chaque main pour les sucer à tour de rôle. Z lui avait promis quelques beaux calibres et Elodie s’en régale. La queue dans sa main gauche tient à peine dans sa main et pourtant, après l’avoir bien lubrifié de sa salive, elle l’engloutit d’un trait.
- Ah oui elle ne fait pas semblant, s’exclame l’un des messieurs
- Non, je vous confirme qu’elle la prend jusqu’au bout ! confirme le principal intéressé.
En l’espace de cinq minutes, le groupe en a appris beaucoup sur Elodie. Ils savaient qu’elle était sexy, ils avaient aussi appris qu’elle n’était pas timide, ils savent maintenant qu’elle n’a pas froid aux yeux et qu’elle est vraiment gourmande de queues bien dures. Reste à voir si elle encaisse. L’un des étalons semble bien décidé à en avoir le cœur net. Déjà capoté, il s’enduit promptement de gel et soulève Elodie par les fesses pour mieux s’introduire en elle. Cette première pénétration la fait décoller et fait découvrir au groupe ses superbes vocalises. Elle savoure chacun de ces premiers coups de reins et son corps commence à se tordre de plaisir sur le matelas. Ses cris se font de plus en plus forts, ces messieurs comprennent que toute la soirée se fera au son de cette musique. Il faut quelques va-et-vient avant qu’Elodie ne reprenne le contrôle de son corps et continue ses fellations humides et profondes. Le spectacle ravit son homme qui la dévore des yeux alors qu’il prend place au niveau des lèvres de cette beauté. Il place ses mains délicatement sous ses cheveux ondulés, juste au-dessus de la nuque. Puis, après lui avoir murmurer qu’il l’aime, lui demande d’ouvrir la bouche. Elle sourit et s’exécute. Mathieu lui tient alors fermement la tête et lui enfonce profondément son sexe au fond de la gorge. Sans le moindre sursaut, la belle engloutit ce sexe raidi par l’excitation. Elle a clairement l’habitude et maitrise le sujet. A chaque va-et-vient la queue de Mathieu devient un peu plus baveuse. On devine que ses assauts font saliver de plaisir son épouse gourmande.
C’est ainsi que commence le torride ballet propre aux gang-bangs. On pourrait croire que sur les 10 hommes dans la pièce, la majorité d’entre eux seraient passifs mais il n’en est rien. Il y a bien sur le relai qui s’organise entre ses cuisses pour ne laisser aucun répit à Elodie, mais la gourmande sait aussi satisfaire deux voire trois hommes avec sa bouche experte. Viennent ensuite les nombreuses mains viriles qui palpent inlassablement la jolie poitrine de la belle, caressent son petit ventre, entravent ses poignets pour la contraindre dans ses mouvements ou écartent ses fesses pour permettre aux pilonneurs de la pénétrer plus profondément en levrette. Tout le monde est à l’affaire y compris ceux qui se branlent en profitant du spectacle afin d’être prêt quand viendra leur tour de profiter de la coquine.
La soirée commence très bien et le mari, consciencieux, n’oublie pas qu’Elodie a envie de jouer. Il propose donc de s’orienter vers la maison de Barbie. L’idée ravit son épouse qui se dirige vers la structure rose avec cette espièglerie qui lui est propre. Tout sourire, elle sonne à la porte et met en route la maison marshmallow. Il ne lui faut pas longtemps pour s’installer sur le matelas et ainsi laisser sa croupe à la disposition des Ken restés à l’extérieur. Le cul posé dans un passe-plat et les jambes solidement attachées en l’air, la voila prête à subir les assauts d’une demi-douzaine de taureaux en rut qui se sont déjà sagement organisés en file d’attente. Le reste des coquins s’est massé devant les fenêtres alors que deux hommes viennent offrir leurs sucettes à cette Barbie brune. Les cris d’Elodie se font encore plus puissants, probablement parce qu’ainsi offerte, les coups de reins de ses assaillants se font bien plus viriles. Son homme n’en rate pas une miette. Il fait une petite visite dans la maison pour se faire un peu sucer mais préfère finalement ressortir pour jouer les voyeurs. Il n’avait jamais vu sa belle démontée de cette manière. Il craignait que ce soit avilissant de la voir ainsi attachée et exposée comme une simple croupe mais les cris et rires de la belle lui prouvent le contraire.
Après trente bonnes minutes à se faire pilonner, Elodie demande un verre d’eau et sort de la maison rose. Les gentlemen, attentifs, se pressent et lui apportent de quoi se rafraichir. Pendant ce temps, son homme s’affaire et prépare le prochain jeu : avec un peu d’aide, il cale solidement ce qui s’apparente à une table de baise. Le principe est simple, madame s’allonge dessus sur le dos, ses poignets sont menottés au plateau alors que ses jambes sont relevées et que ses chevilles sont attachées en l’air. L’installation terminée, il cherche son épouse pour lui présenter la chose mais elle ne répond pas à ses appels. Elle est en effet bien trop occupée pour ça. Mathieu la retrouve un peu à l’écart, au cou d’un des messieurs, en train de l’embrasser à pleine bouche alors que ce dernier lui palpe généreusement son petit cul rebondi. Le mari reconnait ce cochon. C’est celui qui, quelques minutes auparavant, extirpait les cris les plus rauques du corps d’Elodie dans une baise d’une rare énergie et grâce à son outil de belle taille. Mathieu laisse son épouse profiter encore un peu de son amant d’un soir et finit par aller la chercher pour la mener à la table.
Ces messieurs aident Elodie à s’installer et l’attachent comme il se doit. Ses jambes écartées en grand, sa chatte semble supplier qu’on vienne l’envahir. Une première queue s’approche, particulièrement imposante, et s’enfonce d’un seul coup au plus profond de la belle. Cette dernière étouffe un puissant cri et se mord les lèvres alors que son mari la dévore du regard. Les assauts continuent dans la bonne humeur et Elodie redouble d’expressivité. Si ses vocalises continuent de remplir la Factory, elle se débat et se cabre même de plaisir malgré ses entraves. L’assemblée se régale, tous leurs sens sont flattés.
Une nouvelle pose rafraichissement s’impose et le mari propose de passer à un interlude un peu plus calme sur l’un des lits. On détache la prisonnière consentante et on lui apporte un verre d’eau avant qu’elle ne s’installe à quatre pattes sur le grand lit rond. Toujours aussi souriante et aguicheuse, son invitation est évidente et ses amants s’attroupent autour du lit. Elle commence alors à les sucer un par un tout en laissant sa croupe à la portée de quiconque voudra venir la baiser. Mathieu de ne l’a jamais vue dans cet état. Il la savait gourmande, expressive et insatiable mais en cet instant, c’est comme si toute sorte de self-control avait quitté Elodie qui ne se laissait guider que par ses pulsions animales. Elle n’était plus qu’un sextoy, un objet ne servant qu’à donner et prendre du plaisir. Cette pensée ravissait Mathieu. C’est ce qui l’excite. C’est ce qu’il voulait.
Discrète jusque-là, la jolie Yeba s’étonne elle aussi du spectacle et des aptitudes d’Elodie. En faisant sa connaissance, elle a vu un petit brin de jeune femme souriante mais réservée, elle s’étonne maintenant et s’amuse de voir à quel point la miss est téméraire, expressive et avide des assauts les plus viriles. En parlant de témérité, la joyeuse assemblée s’approche d’une autre attraction unique de la Factory : le flipper. Elodie s’installe à plat ventre à l’intérieur, toujours en riant, ce qui continue de surprendre son homme. Seul son petit cul et ses jolies jambes toujours vêtues de son porte-jarretelles dépassent de la babasse. Comme au troquet du coin, les coquins prennent une pièce et attendent leur tour pour tenter de faire tilter cette soumise. Les premiers joueurs se mettent en position et s’agitent sur la croupe d’Elodie alors qu’autour, on sourit, on rigole et on se branle en observant le visage de la belle se tordre de plaisir sur l’écran de TV. Si l’expérience semble satisfaire tout le monde, elle ne sera cependant que de courte durée. Enfermée dans le flipper, Elodie prend très vite chaud et demande à sortir.
Toujours attentionnés, ses étalons l’assistent et la mène sur le lit le plus proche. Ils plaisantent ensemble et lui propose un verre d’eau tout en la caressant tendrement. L’amant d’Elodie qui lui avait fait forte impression dans la maison de Barbie prend de nouveau son tour entre ses cuisses et s’allonge sur son ventre. Elle le reconnait et plonge son regard dans le sien ce qui ne manque pas de faire chavirer l’assistance. L’étalon prend alors appui sur ses bras et s’enfonce en elle comme dans du beurre. Elodie chavire mais ne le lâche pas du regard, la passion est palpable alors qu’il la baise avec la vigueur qui le caractérise. Pendant ce temps, Yeba interpelle Mathieu. Elle lui dit qu’un retardataire vient d’arriver et demande s’il peut se joindre au groupe. Plus on est de fous plus on rit, le mari accepte avec plaisir. Un nouveau larron se joint donc au groupe, il s’appelle lui aussi Mathieu et est visiblement très habitué des lieux. Il est immédiatement à l’aise et plaisante avec le mari qui lui confie qu’il ne pouvait pas rêver meilleure soirée. Taquin, le nouveau venu plaisante en suggérant que Mathieu essaye lui aussi de jouer avec des femmes. Ce dernier répond instantanément que non, ça ne l’intéresse absolument pas. Dans une métaphore des plus machiste, ce qui ne lui ressemble pas, il explique que si on a une Ferrari dans le garage, quel intérêt d’aller s’ennuyer avec des Peugeot. Rire dans l’assemblée qui confirme qu’avec Elodie, on a bien à faire à un pur-sang. Le troisième Mathieu se désape, il ne tarde pas à bander et commence par s’offrir une petite gâterie.
- Ah oui, en effet Madame suce très bien, s’exclame-t-il
- Attends t’as encore rien vu, lui répond un autre
Lui, semble apprécier les lèvres et la langue d’Elodie. Elle, semble déjà se régaler de son membre déjà bien dur. Il est maintenant prêt à la baiser, la complimente sur la sensualité de son corps et la met sur le flanc pour s’introduire en elle. Comme à son habitude, Elodie encaisse dans un râle puissant et accueille ses coups de reins avec gourmandise. L’assemblée se régale et commente la scène en se masturbant. Les cris de leur sextoy sont à peine étouffés par les queues qu’elle accueille dans sa bouche alors que certains s’attèlent à la maintenir par les poignets pour la soumettre un peu plus.
L’arrivée de ce nouveau venu avait donné un nouvel élan à la soirée mais bientôt, une mauvaise nouvelle allait les assommer.
- Les amis il est 22h18 s’exclame Yeba.
- OK, Mais c’est pas grave on a pas de limite plaisante Elodie qui visiblement a encore très faim.
Un peu gênée, la maitresse des lieux n’ose pas la décevoir et c’est son mari qui déclare que la débauche s’arrête à 22h30.
Il faut faire vite alors et Elodie se dirige vers le chevalet de soumission, dernier jouet qu’elle n’a pas encore testé. Son mari semble étonné de la voir si enthousiaste à l’idée d’enfourcher cet engin car plusieurs fois elle avait affirmé ne pas vouloir l’essayer. Pourtant, la voici confortablement installée à plat ventre, les coudes et cuisses bien calés de chaque côté, donnant en spectacle sa chatte trempée et son petit trou toujours serré. Qu’il doit être dur pour ces étalons de respecter la règle d’or de la soirée. Pourtant ils s’y tiennent respectueusement. Pas un seul ne proposera de la sodomiser. Son mari a l’exclusivité de ce délicieux orifice, peut-être s’en chargera-t-il une fois à la maison ? Elodie se fait donc à nouveau assaillir tandis que la position imposée par le chevalet rend les pénétrations aussi profondes que délicieuses. Elle est bien obligée d’avouer à son mari qu’elle avait bien mal jugé ce curieux accessoire. Ses vocalises sont encore différentes et on apprécie tout le plaisir qu’elle éprouve à se faire baiser, les cuisses écartées et le cul relevé alors qu’on lui retient les poignets. C’est le dessert idéal tant pour elle que pour ses compagnons de débauche et, comme tous les desserts, les gourmands aiment à s’en resservir si bien qu’ils en oublient que le temps presse.
Le mari ose alors rappeler gentiment et avec humour qu’il va falloir conclure. Il est donc temps pour tout le monde de se rendre sur le lit central pour le bouquet final. Elodie s’allonge lascivement sur le matelas rond, son mari semble plus excité que jamais : il fantasme ce feu d’artifice depuis des jours et espère qu’il conclura dignement cette soirée d’exception. Tous les mâles se positionnent autour de la belle, le sexe à la main. Certains s’exclament qu’il était temps car il n’a pas été facile de se retenir si longtemps alors qu’un premier jet de foutre vient rapidement éclabousser le flanc gauche de la belle. Son superbe corps était resté pur et immaculé malgré les deux heures de baise qu’elle avait subies, il était maintenant temps de le souiller. Le premier soldat à terre laisse sa place et, très vite, un autre vient décharger ses munitions sur l’estomac d’Elodie. En seulement deux salves de ce nectar blanc et visqueux, son corps s’était mué en une œuvre de Pollock. Son mari reste étrangement silencieux mais son excitation est palpable tant ses yeux semblent chercher à capturer tous les instants de la scène. La peau douce de son épouse allait recevoir une troisième giclée alors qu’elle s’affaire à sucer quelques veinards. Elle est surexcitée. Elle se tord de plaisir et pourtant elle parvient à engloutir queue après queue avec avidité, au point de lui déformer les joues. Pendant ce temps, la branlette continue autour de la belle, et une nouvelle décharge de foutre termine sur son flanc gauche. Pendant ce temps, les mains se baladent sur ses seins, ses fesses et son surtout son clito. A force de se tordre de plaisir, Elodie finit par se retrouver légèrement en dehors du lit, laissant sa tête basculer en arrière sur le bord du matelas. Le 3ème Mathieu y voit l’opportunité de lui baiser la gorge. De sa main gauche, il lui maintient la tête dans cette position, bien en arrière pour libérer l’accès à sa gorge. Puis, deux autres coquins retiennent Elodie par les poignets pour l’empêcher de bouger : elle comprend ce qu’on attend d’elle et ouvre grand la bouche. Son doux bourreau guide alors son gland entre ses jolies lèvres avant de poser sa main droite derrière sa tête pour mieux la retenir. Il a maintenant les deux mains autour de sa nuque, marque une courte pause, et enfonce sa queue raide jusqu’à la garde dans la bouche de sa soumise. Tout le haut du corps d’Elodie est contraint mais parcouru d’un plaisir électrisant. Elle parvient cependant à cabrer ses hanches au-dessus du lit ce qui ravit son mari dont la masturbation s’accélère. Il se place alors entre les cuisses de son épouse, juste au-dessus de son ventre et expulse un jet puissant qui éclabousse le corps de la belle du nombril aux épaules. Elle semble apprécier. Z l’avait présentée comme une amatrice de fraises, la voici recouverte de crème. Elle se met alors à gober les boules de celui lui explorait la gorge auparavant. Il se masturbe frénétiquement avec les rares hommes qui n’ont pas encore joui. Les voilà enfin gratifient Elodie de leur ultime nectar.
Mathieu regarde une dernière fois son épouse sur le grand lit rond. Tout sourire il devine qu’elle est épuisée alors qu’elle reprend son souffle, engluée dans une généreuse couche de sperme. Les hommes aussi sont plus faibles mais aident Elodie à se redresser et l’applaudissent pour cette performance mémorable avant de la raccompagner à sa salle de bain. La Factory est maintenant bien silencieuse et certains viennent saluer et remercier le mari avant de s’éclipser. D’autres, plus bavards, n’hésitent pas à lui confirmer ce qu’il sait déjà : c’est un mari chanceux.
Elodie sort de la salle de bain rafraichie et rhabillée. Seuls son mari et trois hommes sont encore là. Tous se félicitent de la soirée avant de remercier Yeba et de sortir et de regagner la rue en étouffant leurs rire comme des ados qui feraient le mur.
Encore un grand merci à Z, Yeba, Matteo et aux participants.
On vous à trouvés au top. C’était une soirée inoubliable!
Très beau texte pour un moment magique. Bravo à la belle et aux participants