Edit : La narratrice/rédactrice n’est pas de langue maternelle française.
J’ai le plaisir de vous présenter le compte-rendu de Druuna que nous avons kidnappé et séquestré volontairement pendant 24h à la demande et la complicité de leur Maître.
Bonne lecture.
Z.
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Hors mes habitudes, je mets un texte ici pour vous raconter de mon week-end récent, car il le mérite. Le week-end faisait partie d’une semaine de surprises, organisé par Mon Maître @TheseusX 🙂
(oui oui, j’ai passé une très bonne semaine 😁)
1.
Samedi après-midi, je me rends dans un café avec une copine pour papoter et profiter du beau temps. Ce qui nous anime d’aller ce balader après notre café. On papote, se raconte notre vie et rigole. En marchant, elle nous fait passer par une petite rue en plein marais. La rue tourne, garé dans le coin j’aperçois un camion blanc, vue que je soupçonne déjà quelque chose, après des observations que j’ai faite les jours d’avant, je ralenti en passant le camion, mais rien nous arrive donc on continue quand soudain on me mets un sac poubelle sur le haut du corps, on me soulève et me pose dans un (je suppose) coffre d’une voiture, accompagné par la phrase ‘Ne vous inquiétez pas Madame, il s’agit d’un enterrement de jeune filles’, que l’homme qui me porte adresse à une dame qui s’inquiète en voyant le scénario en passant, car on se retrouve toujours en plein Paris.
La voiture roule, je reconnais la voix d’homme que j’ai entendu, il s’agit bien de @DerriereLeRideau , mais j’en ai aucune idée si ma copine est avec moi, si il y a des autres personnes dans la voiture ou pas. Je cherche avec ma main autour de moi, et suis très heureuse quand je retrouve la main de ma copine, on se serre fort. On roule des bonnes 40 minutes, on s’arrête, sa discute vitefait avec des hommes à l’extérieur, on continue de rouler, on descend, la voiture s’arrête. Deux hommes ouvrent le coffre, nous séparent nos mains toujours tenues fort, ils enlevent ma copine, ferment la voiture à clé puis s’en vont. Plus aucun bruit. Malgré la situation je me sens apaisée et excitée pour la suite.
Un homme revient, me soulève sur ses épaules et me dépose quelques minutes plus tard par terre. Il fait glisser ma robe vers le haut, je suis donc couvert d’un sac poubelle jusqu’à la taille et puis dévoilé du bas corps, seulement habillé des sous-vêtements, bas et chaussures. On m’enlever le sac et le remplace par une cagoule avec une vitesse qui m’empêche de voir quoi que ce soit.
Un groupe d’hommes entre la pièce et commence à me parler dégradant et me toucher. Autant pendant le kidnapping j’ai me suis pas trop défendue pour pas inquiéter les passants encore plus, autant je me défends maintenant avec mes forces. Je me tourne, serre mes fesses pour empêcher leurs mains, et mords quand ils s’approchent de ma bouche. Le jeu me plaît autant qu’à eux. Je fais tout pour les empêcher, mais je me retrouve me bras et jambes plaqué au sol, tenu par un homme de chaque et la bouche écarté pour pouvoir forcé la première bite dedans.
Ils me portent par la suite sur un lit ou je continue à tout faire pour me défendre, mais ça les m’excitent encore plus. Un premier homme me prend, un autre force dans ma bouche, un troisième dirige ma main pour le masturber et je dois avouer que ça devient de plus en plus difficile de se defendre car le plaisir devient intense.
Ils m’enlevent la cagoule, la lumière me pique, je vois une dizaine d’hommes autour et sur moi, mais surtout ma copine qui est présente à côté de moi, heureuse et complément en paix. Elle aussi se met à participer plus tard.
Le gangbang se déroule parfaitement, les hommes repartent aussi satisfait que mon Maître, ma copine et moi.
On nous annonce une pause de 1,5 heures avant la soirée. Quelle soirée ?!
Autant que j’ai soupçonnée quelque chose l’après-midi, là je suis complètement surprise. On nous sert quelque chose à manger, une assiette traiteur gourmand. Kidnappé mais version luxe 😉
Après manger, mon Maître nous remets les cagoule, il nous attache par les mains à une barre au coin de la salle, s’assure qu’on va bien et nous laisse.
J’entends des gens arriver, des voix dans la pièce à côté, beaucoup des voix. L’excitation devient certainement presque insupportable.
Les pas des personnes s’approchent, ils sont juste à côté de nous. Je sens leurs regards. Ils discutent, chuchotent et parlent de nous. On est l’attraction de la soirée sans être considéré. Je vis avec certitude un de mes moments préféré de toute la semaine. J’adore de les entendre parler de moi comme si je n’étais pas là.
Mon Maître nous détachent et nous guide au milieu de la pièce, les voix se taisent.
On nous attache à une croix, une de chaque côté. Encore une voix je sens les regardes percent chaque partie de moi. Doucement les coups arrivent sur mon corps, puis plus fort. Mon Maître et un fouetter confirmé, avec lesquel on a pu échangé avant, font claquer des martinets en latex et cuir, des fouets et des barres en caoutchouc simultanément sur nos peaux. À chaque souffle et hurlement qu’on lâche, la foulé chuchote, s’excite, encourage d’aller plus fort. Je me sens tellement à ma place et en paix que je me perds dans les coups, je pars dans ma bulle.
Les derniers coups sont plus fort, douleur qui devient délice immédiatement, et puis on nous enlève les cagoule et nous détache. Je vois le public, plus des personnes que je pensais. On nous regarde avec des grands yeux. Des yeux remplit de joie, désir et excitation.
Tout le monde se mets à papoter, rigoler et jouer, nous inclu, 3 heures de gangbang se déroule.
Il est minuit, tout le monde rentrent, sauf nous. On nous annonce encore une nouvelle, on dort dans le cagibi. Mais on était gentil avec nous, il y a un matelas par terre, qui est plus grand que la pièce, une gamelle remplit d’eau et des menottes. Ils l’ont même un peu chauffé. On est des esclaves, mais en luxe.
Mon Maître nous attache les mains, nous dit bonne nuit et s’en va dormir dans un lit ailleurs.
Dimanche matin, Mon Maître nous réveille, un groupe d’hommes est déjà sur le point d’arriver. On nous a même ramené des viennoiseries, juste les fruits que j’avais demander la veille, car j’aime pas trop les viennoiseries, manquent (je pensais). On nous rattache à la barre, cagoulé (oui oui, j’ai décidé que c’est un mot maintenant), les hommes s’approchent et je sens quelque chose froid sur mes lèvres. On ne fait plus de confiance à ce point haha mais il s’agit simplement d’une fraise, puis d’un morceau d’ananas, puis un raisin, etc etc. Je rigole car je comprends que les fruits n’étaient pas du tout oublié, j’étais juste pas sensé les manger moi-même. Après les fruits on nous nourrit avec des bites, toujours attaché à la barre. On nous libère les mains, nous guide sur le lit et abuse de nous. Et encore une fois, je suis complètement en paix.
Au moment qu’on m’enlève la cagoule, je vois une petite dizaine de visages d’hommes, toutes souriantes et du bonne humeur. Et puis j’ai la chance de pouvoir réaliser une première fois que j’avais envie de faire depuis un moment: un double vaginal.
Les deux messieurs gere parfaitement pour que je me sente à l’aise et puisse lâcher prise. Et avec peu de surprise, j’ai absolument adoré.
Après que tous les hommes sont satisfaits, ils partent et nous sommes emmené dans notre cocoon le cagibi.
À ce point on est complètement perdues dans le temps car on a aucune idée de l’heure.
Mon Maître nous mets un masque et nous allonge sur le matelas et nous couvre petit à petit avec de la cire. On a même le droit d’avoir la bouche et la chatte recouvert, même fermé de cire. J’entends encore des personnes à côté, elles font un tour du lieu, puis elles passent au cagibi. Ils nous regardent et observent comme le reste du lieu, elles parlent de nous comme des objets (à notre plaisir ;))
On nous emmène encore une fois au milieu de la grande pièce et n’entends mon Maître dire « elles sont à vous, profitez-en »
On nous touche, délicatement et brusquement, lentement et rapide, plein de mains différentes. Il y a des hommes et des femmes cette fois ci. Une personne s’occupe délicieusement d’enlever de la cire de mon corps, même les endroits les plus doulereuses.
C’est vite reparti pour une pluralité, où même Mon Maître participe, ce qui me fait particulièrement plaisir.
Et puis j’ai de la chance de vivre ma deuxième première fois de ce week-end: un fist vaginal.
D’abord par une femme et puis par un homme pendant que j’étais en train de boire, ou plutôt lecher de l’eau de notre gamelle. Ce moment fait également partie de mes moments préférés.
On finit avec une coupe de champagne pour clôturer ce week-end, tout le monde papote, est heureux et épuisé, comme il le faut.
Le seul moment désagréable de ce weekend c’est au moment de remettre nos vêtements après 24h nue avec seulement des menottes, de rallumer nos portables après 24h coupé du monde et de ressortir dans la civilisation après 24h sans lumière naturelle. 24 heures d’esclave sexuelle. Je n’aurai pas pu imaginer mieux pour passer un bon week-end.
…Reste juste à trouver un bon mensonge à raconter à mes collègues.
Merci @DerriereLeRideau et @TheseusX pour tout l’organisation et la créativité qui nous a permis de vivre c’est moment hors temps !