Ce soir-là, j’ai franchi les portes de la Factory avec Salwa et Sanaa, le cœur battant d’anticipation. Z., l’organisateur, avait tout prévu pour cette orgie sur mesure dans son lieu du 15e arrondissement, rue d’Alleray. J’avais été clair avec lui : je ne participe pas, je regarde. Voir ma femme se faire prendre sous mes yeux, c’est ma drogue, une montée d’adrénaline que je ne peux pas expliquer. Quand Z. m’a promis une soirée « à l’américaine » avec une touche marocaine, j’ai senti une chaleur m’envahir avant même que ça commence.
On est arrivés à 22h. L’ambiance était électrique : murs noirs, miroirs reflétant les lumières tamisées, et une musique électro-orientale qui faisait vibrer mes nerfs. Salwa était sublime dans sa robe transparente, ses tatouages et son cul massif exposés comme une provocation. Sanaa, à ses côtés, semblait prête à tout dévorer avec son cul énorme et son regard de défi. J’ai serré la main de Z., la gorge sèche : « Fais-les hurler, je veux juste mater. » Il a acquiescé, et j’ai su que j’allais en prendre plein les yeux.
Z. a donné le feu vert, et dix mecs se sont avancés – des colosses aux muscles saillants, prêts à en découdre. Salwa s’est mise à quatre pattes sur le tapis central, son cul tendu comme un appel. « Drabni b’ser, a zine ! » (Fais-moi mal, beau gosse !), a-t-elle lancé à Malik, un grand Black qui a enfilé un préservatif avant de la pénétrer d’un coup sec. Son cri a traversé la pièce : « Zebek kbir bzzaf, n*km*out 3lih ! » (Une queue trop grosse, je suis folle de ça !). À côté, Sanaa s’est adossée au mur, jambes écartées, défiant un Latino : « Wach nta rjal wlla la ? Nikini hta n’mout ! » (T’es un homme ou pas ? Baise-moi jusqu’à ce que je m’évanouisse !). Il a mis une capote et l’a prise brutalement, ses claques sur son cul résonnant comme une symphonie perverse.
Je me suis assis sur un canapé, une boule dans la gorge et une érection qui pulsait sous mon pantalon comme jamais. Voir Salwa se faire labourer, son corps secoué par les coups de Malik, me rendait dingue. Chaque gémissement qu’elle poussait – « Zid, ana l’qahba dyalk ! » (Encore, je suis ta pute !) – était comme un électrochoc dans ma tête. J’étais fier, excité, presque jaloux mais pas tout à fait. Sanaa, elle, criait des insanités : (Frappe-moi avec ta queue, donne-moi ton jus !), et je me surprenais à sourire, fasciné par son abandon. À un moment, elles se sont alignées côte à côte, prises en levrette par deux mecs qui alternaient les rythmes. Salwa m’a regardé, ses yeux brillants de vice : « T’aimes ça, hein, Aziz ? » Mon cœur a bondi. Oui, j’aimais ça, plus que je ne voulais l’admettre.
Chaque fois qu’un mec enfilait une capote pour pénétrer ma femme ou Sanaa, je me disais que c’était parfait comme ça – brut mais contrôlé, sauvage mais safe. Salwa passait d’un partenaire à l’autre, son cul claquait sous les assauts, et moi, je restais là, immobile, comme un roi qui regarde son royaume s’offrir à d’autres. Sanaa, elle, semblait dans un autre monde, ses hurlements en darija me donnant des frissons : « Zid drab, ana bghit ezzn ! » (Fais plus fort, je veux ton jus !). J’avais envie de lui dire « vas-y, prends tout », mais je me taisais, savourant ce rôle de spectateur privilégié.
Vers 11h30, Z. a annoncé le final : un bukkake. Les capotes ont été retirées après les pénétrations, et les mecs se sont mis en cercle autour d’elles. Salwa et Sanaa se sont agenouillées, langues dehors, leurs corps luisants de sueur. Mon souffle s’est coupé quand les premiers jets ont giclé sur leurs visages. Salwa a crié : « Jib l’ma dyalk, ana l’qahba dyalk ! » (Donne-moi ton jus, je suis ta pute !), et une vague de fierté m’a submergé. Sanaa, hilare, a ajouté : « Hada zwiin bzzaf ! » (C’est trop bon !). Elles se sont frottées l’une contre l’autre, étalant le sperme sur leurs peaux, et Salwa m’a appelé : « Viens voir de près, chéri. » J’ai avancé, le cœur battant à tout rompre, mais je suis resté à distance, incapable de toucher, juste enivré par la vue. Leur abandon, leurs mots crus, c’était comme si elles me parlaient à moi aussi, comme si chaque goutte était un cadeau qu’elles m’offraient indirectement.
À minuit, tout s’est calmé. Salwa s’est relevée, essoufflée, et m’a glissé à l’oreille : « T’as aimé me voir comme ça ? » Sa voix tremblante m’a fait frissonner. « Plus que tu crois, » ai-je murmuré, encore sous le choc. Sanaa, essuyant son visage, a lancé à Z. : « Next time, plus de mecs ! » J’ai ri intérieurement – elle ne changera jamais. En quittant la Factory, j’avais l’impression d’avoir vécu un rêve éveillé. Ma femme, ma reine, s’était donnée à fond, et moi, j’avais joui de chaque seconde sans poser un doigt sur elle. Z. avait orchestré ça comme un maître, et je savais qu’on reviendrait.

Franchement sa avait l’air incroyable
Je bande comme un fou à la lecture de ce récit, ma femme va en être la principale bénéficiaire en lui faisant l’amour et en repensant à ce que j’ai lu et en m’imaginant faire partie des lascards. J’espère que tu m’accepteras un jour quand je vais te faire une demande pour participer car j’en ai une furieuse envie.