Le cocu raconte..

Ce vendredi soir, comme à son habitude, ma femme avait donné rendez-vous à son amant. Un dominant, un vrai. Un mec qui savait la prendre comme elle le voulait, comme moi, je n’avais jamais su le faire.

Il nous a invités chez lui. On s’est retrouvés dans son salon, lui et moi, un verre à la main, tandis que ma femme était enfermée dans la salle de bain. Il parlait calmement, sûr de lui, pendant que je jetais des regards vers la porte derrière laquelle elle se préparait. Je savais qu’elle se transformait de l’autre côté.

Vingt minutes plus tard, elle est sortie… et putain.

Elle était méconnaissable. Une jupe si courte qu’on aurait dit une ceinture, un haut qui ne couvrait presque rien, des bas résille et des talons vertigineux. Son maquillage était vulgaire, provocant. Elle s’était transformée en une pure salope prête à être baisée. Son amant a sifflé, satisfait, son regard glissant sur ses seins gonflés, sur son cul à peine couvert.

— Bon, maintenant, tu dégages, m’a-t-il dit avec un sourire. Je t’appelle quand on en aura fini.

Je n’ai même pas protesté. J’ai quitté l’appartement, suis retourné à ma voiture, et j’ai attendu.

Une heure. Deux heures. Toujours rien.

Puis, un message.

Je l’ai ouvert, fébrile.

Une photo. Ma femme, nue, agenouillée, le visage inondé de sperme. Pas seulement celui de son amant… il y avait un autre homme. Ils étaient deux à la prendre. Elle ouvrait la bouche, la langue tendue, offerte, avide de plus.

Mon cœur battait à toute allure, mon souffle saccadé. Un deuxième message est arrivé :

— Rentre, cocu. Finalement, on en a pour toute la nuit.

J’ai serré mon téléphone, j’ai baissé mon pantalon, et je me suis branlé sur cette image, là, dans ma voiture, imaginant ma femme en train d’être souillée, pénétrée dans tous les trous, son corps couvert de foutre, soumise à ces deux mâles qui se la partageaient comme une putain.

J’ai attendu encore une heure, perdu dans mes fantasmes, jusqu’à ce que je la voie enfin sortir du bâtiment avec son amant. Ses cheveux étaient en pagaille, ses jambes tremblaient légèrement.

Je l’ai appelée immédiatement.

Une fois. Elle a regardé son téléphone et l’a rangé.

Une deuxième fois.

Elle l’a ressorti, a vu mon nom, a hésité… puis l’a remis dans son sac.

Au troisième appel, son portable était éteint.

Je les ai suivis. Une heure de route. Ils se sont arrêtés en plein centre-ville. Même à cette heure tardive, il y avait encore du monde. Ma femme est sortie de la voiture et c’est là que j’ai pris une claque.

Elle portait une jupe si courte qu’on distinguait clairement qu’elle ne portait pas de culotte. Ses cuisses brillaient sous les réverbères… elle avait encore du sperme séché dessus. Une trace blanchâtre marquait le haut de ses bas.

J’ai compris.

Son amant voulait l’exhiber. Il voulait que les passants voient ce qu’elle était devenue : une femme offerte, une putain marquée par la jouissance d’autres hommes. Il voulait que tout le monde sache qu’elle n’était plus qu’une salope prête à être prise n’importe où, n’importe quand.

Et elle… elle le laissait faire.

Je bandais tellement fort à cette idée.

Je les ai suivis à distance, mon cœur battant à tout rompre. À un moment, ils ont tourné dans une rue sombre, et je les ai perdus. Ils étaient entrés quelque part, mais impossible de savoir où. J’ai décidé d’attendre dans ma voiture, garée juste à côté. Une heure. Rien.

Finalement, je suis rentré.

À 10h, ma femme m’a appelé, la voix posée, comme si de rien n’était.

— Je viens de me réveiller… Je me suis endormie tôt, vers minuit.

J’ai souri. La belle menteuse.

— Je passe voir ma sœur avant de rentrer. Je serai là vers 13h.

Quand elle est rentrée, elle était fraîche, maquillée, habillée sagement. Elle m’a embrassé sur la joue et s’est mise à cuisiner, jouant son rôle de parfaite épouse.

Moi, je la regardais, silencieux.

Je savais qu’elle avait encore le goût de leurs queues sur la langue.
Je savais que son corps portait encore la trace de leur foutre.
Et pourtant… je n’ai rien dit.

Parce que je suis un cocu. Et que j’ai adoré ça.

Quand j’ai imaginé sa visite chez sa sœur, en train de lui raconter sa nuit de traînée, détaillant comment elle avait été prise par deux mecs, comment elle avait avalé jusqu’à la dernière goutte… je me suis branlé une dernière fois.

2 commentaires

  1. Magnifique texte ! Court et intense à la fois
    Tout ce qu’un bon cocu peut espérer…
    Bravo je souhaite la même épouse que vous !

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