N’y tenant plus, j’ai pris mes couilles à deux mains et je l’ai enlevé du milieu de l’attroupement où elle se trouvait, noyée sous les jouissances et les rasades de sperme infinies qu’elle se faisait une joie de réclamer mais surtout de goûter.
Cette jeune femme sentait le sexe dès son entrée au club. Sa voix claire, son regard défiant toute concurrence et son cocu la suivant partout.
Une image valant plus que 1000 mots, voici ce que nous avons vécu. Je ne le regrette point. Bien au contraire, j’en suis devenu addict.
Prise debout, en levrette, la capote mise en dépit du bon sens, Virginie m’a demandé au bout de longues, très longues minutes de coup de butoir, la tête cognant contre le mur de jouir entre ses fesses qu’elle écartait. Une longue et unique rasade de sperme épais est venue noyer son mignon. Yeux exorbités, j’ai vu la belle prendre un doigt, cueillir une goutte épaisse de foutre et l’enfoncer dans son cul et ressortir rejoindre le cocu.
10 minutes après, ils étaient déjà dehors.
Elle me manque.