On parle (encore) de nous

Dommage, j’avais une certaine idée de nous.

Dommage, j’avais une certaine idée d’une partie de notre voisinage.

Quitte à récolter un reportage sur notre activité, j’aurai espéré nous retrouver sur l’Herald Tribune, le Washington Post ou le Monde. Bref, un reportage qui reprend plus ou moins les mêmes lignes de l’article précédent du Parisien. A noter que la Queen qui couine (Adeline) n’a pas voulu répondre aux questions du journaliste. Celui ci, n’a fait que reprendre un des ses comptes-rendus sur son site.

Je ne sais pas vous, mais nous, ça nous fait une pub d’enfer. Les deux articles disent la même chose. C’est légal, c’est safe, c’est consentant. Dommage que les voisins aient divulgués l’adresse eux mêmes alors que nous faisions tout pour la garder discrète.

Une main-courante, puis une plainte ont été déposées car nos murs ont été la cible de dégradations au commissariat du coin.

Sinon l’agenda de la semaine est en cours de rédaction. Bonne lecture (mais de vous à moi, y’a rien de fou à lire ce papier).

Merci à Lauda pour cette veille internet. Merci à toi de me tenir au courant de ce qui sort dans la presse nous concernant.

Vous pourrez trouver tous les articles de presse nous concernant durant toutes années ici : https://www.derrierelerideau.fr/category/presses-interviews/

3 commentaires

  1. Mon cher Z,
    Ce torchon est encore plus minable que l’autre du Parisien.
    Quant à cette riveraine, ne prendrait-elle pas un plaisir trouble à consulter ton site ?…
    Bonne soirée et à bientôt

  2. J’aime bien lire qu’il s’agit d’hommes polis et bien habillés.
    C’est intéressant, comme la projection de cette femme de mon age va sur l’idée que ces hommes sont des « violeurs ». Si elle savait tous les débats que l’on a dans la communauté sur le consentement et la prédation masculine ! Bien plus qu’ailleurs !
    Après, je trouve intéressant la peur qu’elle peut transmettre à ses propres enfants.
    Madame, rassurez-vous, ces messieurs ne s’intéressent ni à vous ni à votre fille. Ils recherchent une aventure consentie et des femmes qui assument leur sexualité et leurs fantasmes. Il n’y a rien de grave à cela.

    • En discutant avec les uns et les autres. En compilant toutes les informations, je peux affirmer aujourd’hui, qu’en vérité, les rares voisins qui disent être outrés, gênés etc, en vérité, ne veulent aucune activité dans l’immeuble. Je serai plombier, cabinet médical, comptable, ça ne changerait rien pour eux. Ils ne veulent tout simplement pas qu’il y ait d’activité. Même si eux mêmes constatent qu’il n’y a aucune nuisance

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