Chers tous,
Voici la retranscription d’un rêve. Le rêve de Patricia. C’est sulfureux, interdit, bandant, excitant.. Quand on est seul, on regrette de l’avoir lu.
N’hésitez pas à poster vos avis, vos commentaires, elle en raffole.
Bises.
Z.
« Début des vacances scolaires, un vendredi soir…je me dirige vers la gare. Pourquoi ai-je choisi un tel jour pour monter faire les soldes à Paris ? J’ai pris un billet en surréservation ; le train va être plein à craquer.
Tant pis ! Je suis en week end, c’est l’été, il fait beau et j’ai deux jours à moi, sans mari ni enfant, seule avec ma carte bleue.
Je me suis mise en jupe et petit top moulant. Je ne porte pas de sous vêtement comme la plupart du temps quand l’été est là ; j’aime sentir une petite brise venir caresser mes lèvres humides ; j’aime l’idée que les hommes que je croise me savent nue et s’affolent de ça. Me sentir désirer ne fait qu’accroître mon excitation et je n’ai alors aucun mal à me comporter comme une chatte en chaleur.
Me voici donc à la gare, mon petit bagage sur l’épaule, le bas ventre en ébullition. Tout à coup je prends conscience qu’un jeune homme me regarde avec insistance. Il est beau, plus jeune que moi. Je le passe brièvement « en revue » et arrive à sa braguette imaginant ce que je pourrai trouver derrière : un beau gland circoncis et régulier assez large. Nos regards se croisent, nos échangeons un sourire. Mais décidée à être sérieuse, je me dirige vers mon train.
Je me retrouve assise avec 3 autres personnes, 3 hommes, la cinquantaine, plutôt pas beaux. Mais petite salope que je suis (dixit mon mari) je me plais à les allumer : je remonte un peu plus ma jupe, croisant et décroisant les jambes ; je frôle mes tétons en feuilletant mon magazine puis je m’étire doucement pour que personne ne puisse ignorer que je pointe comme une folle.
Ce petit jeu m’excite et j’ai bien envie d’aller me masturber un peu. Je me lève alors pour me diriger vers les toilettes. Je suis à peine debout que j’aperçois à deux places de moi « le jeune homme » du quai. Je le regarde avec insistance, il me sourit ; je passe mon chemin. J’ai soudain une folle envie de lui. Je rentre dans les toilettes du TGV à peine propres, avec le fol espoir qu’il va m’y suivre. Je commence à me masser le clito ; mais la mauvaise odeur du lieu aura raison de mon excitation et je décide assez vite de regagner ma place. A peine sortie, je me retrouve face à mon bel inconnu ; il nous faut nous croiser dans cet étroit couloir. Nos corps se touchent, je passe « mine de rien » mes tétons durcis sur son bras. J’ai des frissons. Ce garçon a un sacré sex-appeal. Je suis chaude comme la braise, prête à me faire prendre là tout de suite. Pourtant juste un sourire à nouveau.
Je regagne ma place pour les quelques minutes de trajet qu’il me reste, partagée entre l’envie de lui donner un rencard et je ne sais quoi qui me retient.
Nous voilà arrivés à Paris ; je dois rejoindre mon hôtel. Direction le métro, les quais sont bondés, pas le temps de traîner. Je jette un dernier coup d’œil en direction du mec, un dernier sourire entendu. Pourquoi moi qui d’habitude très à l’aise avec les mecs et qui assume sans complexe mes envies de pluralité et mes pratiques échangismes, suis-je si troublée par celui là, au point de ne pas oser l’aborder ?
J’arrive au métro ; un flot de passager descend, un autre monte dont je fais partie. Nous nous engouffrons tous tassés les uns sur les autres. Pas possible de se retourner, j’ai le buste plaqué sur mon voisin de devant. C’est limite suffocant.
Tout à coup je sens une main qui frôle ma cuisse, puis qui devient plus insistante ; je ne bouge plus. Cette main est douce, des doigts fins et longs qui remontent maintenant jusqu’à la base de mes grandes lèvres. Je suis dans un état second. Malgré l’angoisse qui m’habite, je ne peux m’empêcher de mouiller comme une folle.
Puis un doigt fouille mon inimité, m’arrachant un petit soupir discret. Est-ce que vraiment j’ai envie de savoir qui a l ‘audace de me fouiller ainsi ? Car maintenant c’est une vraie fouille en bonne et due forme, des vas et vients réguliers au fond de ma petite chatte et moi « tétanisée », les yeux fermés, me retenant de haleter comme une garce. Je suis proche de la jouissance quand tout stoppe. Je le regrette… J’ai envie de me faire prendre profondément, à 4 pattes, la croupe en l’air, par des grands coups de butoir. J’ai envie de me retrouver la bouche remplie d’un gros chibre que je pomperai vigoureusement avant de me délecter de jute chaude. J’ai envie d’être chienne.
J’ouvre les yeux ; mince nous avons déjà passé 6 stations soit 4 stations après celle où je devais descendre ; ce métro est de plus en plus plein. Nous sommes tassés les uns sur les autres. Je suis alors envahie par un sentiment de panique, pourtant je ne bouge pas.
Puis je me sens à nouveau « investie » ; mais cette fois ci il ne s’agit pas de doigts. Je n’ai aucun mal à sentir que je suis pénétrée par un sexe, de bonne taille et qui plus est sans préservatif. Je suis furieuse que quelqu’un me prenne ainsi pour un vulgaire « trou » et en plus n’ait pas le respect de se couvrir. Je devrais hurler, me dégager, pourtant je me laisse faire. Et les vas et vients discréts se font de plus en plus hards au rythme des coups de frein du métro.
Nous sommes à 4 stations du terminus, je ne touche plus terre, j’ai envie de laisser éclater ma jouissance. Je me mords les lèvres. Mais pourquoi personne ne voit pas ce qu’il m’arrive ??? D’un côté « entassés » comme nous sommes, c’est presque impossible à détecter.
Dernière station avant le terminus ; je sens un souffle plus chaud dans mon cou, puis quelques spasmes et me voici l’entre jambes envahi d’une chaude liqueur. Je n’ose y croire : je viens de me faire remplir la chatte là dans une rame de métro, entourée de monde, par quelqu’un dont j’ignore tout, même le visage,…..et j’ai pris du plaisir !!! Un énorme plaisir même. Je m’en veux…..
Il me faut reprendre mes esprits et retrouver ma route. Je descends au terminus et je déambule dans les couloirs du métro, du sperme dégoulinant le long de mes cuisses. Je monte à nouveau dans un wagon, celui qui me ramènera vers ma destination, tel un zombi. Cette rame est presque vide. Je suis stressée, envahie de culpabilité. Celui qui m’a prise était il sain ? Que va dire mon mari ???Je suis livide quand un jeune homme vient s’asseoir à mes côtés : celui du quai de la gare. Que fait il là ?? Soudain je suis beaucoup moins avenante. Puis il me parle, se présente, c’est Romain, il a 27 ans. Je l’écoute à peine jusqu’à ce qu’il me demande si j’ai aimé « cette baise à la sauvette » Je tressaille ; comment sait il ? AH c’était donc lui. Je m’énerve, j’ai envie de le taper, il le sait et enchaîne donc vite sa fin de l’histoire : « c’est ton mari qui a tout monté, qui m’a missionné. Je n’ai été que l’acteur de ce petit scénario imaginé par ton vicieux de mari ; je dois dire que je n’ai pas été déçu, en voyant les photos et quand ton chéri m’a proposé ce plan, j’avais très envie de te prendre mais je n’imaginais tout de même pas que tu étais aussi chaude. Tu es une vraie petite chienne et j’ai adoré ça «
OUAH ….Mon mec à moi était à l’origine de tout ça. Tout à coup je me suis détendue.
Romain m’invite à boire un thé, nous bavardons ; j’en profite pour appeler mon homme et lui raconter en détail ce qui vient de m’arriver à ce petit salaud. Mais il le sait déjà ; il a eu Romain au téléphone. Je le sens très excité : savoir sa femme à 250 kms de lui la chatte souillée par un autre mec ( sain et choisi par lui)le met en émoi. Je me sens redevenir garce de le sentir ainsi.
Je raccroche « reboostée » et continue ma conversation avec Romain ; décidément il en a du charme ce mec là !!!
Deux heures plus tard, arrivée à mon hôtel et après avoir pris une bonne douche, je rappelle mon homme. J’ai la voix qui tremble, je hâléte comme une chienne, au rythme des coups de reins virils de Romain que j’ai invité……. »
Cette brève signerait elle le grand retour de Patricia à la Factory ? Si c’est le cas je prends mon ticket (voir même plusieurs !)
A très vite !